Accueillir les traces de la ville en soi, de soi dans la ville, être à l'écoute du rythme que la marche en ville imprime à l'écrit lui-même (première contrainte), écrire accoudé, assis, debout, avec le temps ou dans l'urgence, dans le calme, dans le bruit de la ville et aboutir à ce que ces fragments écrits collectés, accumulés dans la marche composent un ensemble, continu ou discontinu, un carnet de flâneries dans Toulouse.
Geneviève Rojtman